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L’interview couleur de nuit (bis)

Voici ce que j’ai demandé à Chat-GPT:

Peux-tu m’écrire une nouvelle (600 mots maximum), ayant pour thème l’interview de l’homme le plus riche du monde (patron de grand groupe), par un journaliste. Le texte doit comporter la phrase: « la nuit je mens je m’en lave les mains ».

Et voici le résultat:

La pièce était vaste et luxueusement décorée. Les murs étaient ornés d’œuvres d’art, et les meubles en cuir donnaient une impression de grandeur. Le journaliste, nerveux mais déterminé, s’apprêtait à réaliser l’interview tant attendue avec l’homme le plus riche du monde, Daniel Warren.

La réputation de Daniel en tant que magnat des affaires n’avait d’égal que son goût pour la discrétion. Il était connu pour éviter les interviews et la presse, mais aujourd’hui, il avait accepté de faire une exception.

Le journaliste entra dans la pièce et fut accueilli par Daniel Warren, un homme élégant et charismatique. Leur conversation commença, les questions fusèrent et les réponses étaient soigneusement formulées. Le journaliste cherchait à percer le mystère de cet homme puissant.

Daniel parlait de ses réussites, de son empire commercial et de sa vision pour l’avenir. Mais derrière son discours confiant, le journaliste pouvait percevoir une certaine lassitude. Il y avait une part d’ombre en lui, une vérité enfouie.

Alors, bravant la prudence, le journaliste prit une inspiration et posa la question qui brûlait dans son esprit : « Monsieur Warren, vous êtes considéré comme l’homme le plus riche du monde, mais est-ce que l’argent peut acheter le bonheur ? »

Un sourire ironique se dessina sur le visage de Daniel. Il prit une profonde inspiration, puis répondit d’une voix grave : « La nuit je mens, je m’en lave les mains. »

Le journaliste fut surpris par cette réponse énigmatique. Il comprit qu’il venait de toucher une corde sensible. Il décida d’approfondir : « Pouvez-vous nous en dire plus, monsieur Warren? »

Daniel se leva et fit les cents pas dans la pièce, sa voix résonnant dans le silence. « J’ai bâti un empire financier, mais j’ai sacrifié tant de choses en chemin. J’ai perdu des amitiés, des relations, et même parfois, mon humanité. L’argent a sa valeur, mais il ne peut remplir le vide émotionnel. »

Il s’arrêta et fixa le journaliste droit dans les yeux. « Le bonheur véritable réside dans les moments simples de la vie. Les relations sincères, les instants de partage, ceux-là sont inestimables. Mais quand on est pris dans la course aux richesses, on peut facilement perdre de vue ces vérités essentielles. »

Le journaliste se sentait ému par la sincérité de Daniel. Il réalisait que derrière les chiffres, il y avait un homme en quête de sens. Une compréhension nouvelle se fit jour.

« Merci, monsieur Warren, pour cette honnêteté. Votre témoignage est précieux. Qu’espérez-vous laisser en héritage ? »

Daniel sourit doucement et répondit : « J’espère que mon héritage ne se limitera pas à mes biens matériels. J’espère laisser une empreinte positive sur ce monde ».